Un courriel d'information sur les produits sélectionnés vous sera envoyé sous peu.
Merci!

Le Maitre | Caviste Virtuel par Maître de Chai
Une expérience unique; de la commande jusqu’à la dégustation!
Téléchargez l’application et vous y découvrirez une expérience unique qui dépasse largement la simple commande de vin en ligne! Accès direct au plus grand catalogue d’importations privées au bout de vos doigts, offres personnalisées, service de livraison « gants blancs », rétroactions et plus encore.
En savoir plus
Demande d'info

Aucune

Aucun

Ajouter un produit

Votre demande a bien été envoyée. Vous allez recevoir un courriel de confirmation.
Merci!

Vous êtes déjà inscrit.

inscription infolettres

Archives

Domaine Croix & Courbet

L’histoire d’amitié entre David et Damien remonte à il y a 20 ans, lorsqu’ils se sont rencontrés sur les bancs de la FAC d’œnologie de Dijon. C’est par amour des vins du Jura que le tandem a souhaité fonder un négoce « haute couture ». Nous n’aurions pu rêver d’une meilleure association de talent entre ces deux vignerons que nous adorons, qui sont bien décidés à sublimer le Savagnin. Voici le récit de Croix & Courbet, le mariage que l’on attendait!

David Croix, vigneron bourguignon surdoué

David Croix s’est forgé une solide réputation en Bourgogne où il a attiré l’attention d’une certaine Becky Wasserman qui, dès la fin de ses études lui propose un poste de directeur technique au sein de la maison de négoce beaunoise Camille Giroud. Il y reste quinze ans, vinifiant plus de trente appellations chaque année et rend son lustre d’antan à cette maison endormie. En 2005, il rachète le domaine Roger Ducher, qui devient le Domaine des Croix, qu’il gère en parallèle. En 2016, il quitte Camille Giroud pour assister la star bourguignonne, Jean-Marc Roulot à Meursault, auprès de qui il travaille quelques temps. S’il maitrise aujourd’hui parfaitement la culture et la vinification du Pinot noir et du Chardonnay, le Jura l’a toujours fasciné.

Damien Courbet, un jurassien pur jus

Damien Courbet est un jurassien natif d’origine, sa famille exploitant des vignes dans la région depuis 1879. Il est aujourd’hui à la tête du domaine familial de 7 hectares situé à Château-Chalon mais s’est formé en Bourgogne, en Alsace, en Afrique du Sud et en Californie. Travaillant depuis 2002 son vignoble en encépagement typiquement jurassien, il s’est aperçu de la parfaite adéquation du Savagnin aux grands terroirs marneux de l’appellation. Il a donc entrepris une restructuration de son vignoble pour laisser plus de place au cépage roi du Jura qu’il cultive d’ailleurs en biodynamie, son domaine étant certifié depuis 2005.

Quatre cuvées, une production confidentielle et avenir prometteur

Alors qu’il est le plus souvent vinifié de façon oxydative, sous voile, Croix & Courbet prend le parti d’explorer tout le potentiel de ce cépage vinifié de façon ouillée, sans contact avec l’oxygène. Il peut alors révéler son profil floral et refléter la diversité des terroirs du Jura dans une approche parcellaire. En connaisseur, Damien Courbet est parti à la recherche de belles parcelles de Savagnin. À terme, la volonté de ce duo est de s’approvisionner dans tout le Jura avec, pour seule condition, le choix de raisins bio ou en conversion. Leur collaboration qui est basée sur l’échange et la passion s’est concrétisée en 2019, année de production de leur premier millésime.

Au chai, l’approche se veut peu interventionniste, avec un accompagnement des raisins, l’utilisation de levures indigènes, et peu, voire pas de soufre. Avec la volonté de laisser le cépage s’exprimer, David et Damien ont choisi d’utiliser des œufs béton pour l’élevage permettant de respecter les spécificités du Savagnin afin de préserver son intensité variétale.

Seules quelques bouteilles produites chaque année, révélant des vins d’un équilibre remarquable entre puissance et élégance, des notes florales mariées à celles typiques d’herbes et de noix, d’une belle complexité. Un négoce promis à de très belles choses et un pari réussi!

Domaine Serge Laloue

Alors que les parents de Serge Laloue sont agriculteurs, il décide de s’orienter vers la viticulture. À partir de là, il va développer le domaine pour arriver à 20 hectares de vignes en appellation Sancerre dans son village natal de Thauvenay. C’est là que grandissent ses enfants, entre la cave et les vignes, où le travail et vie familiale sont indissociables. La relève est assurée par Franck Laloue, fils de Serge, après une formation au lycée viticole de Beaune au début des années 90s, qui est rejoint par sa sœur Christine en 1998.

Ensemble, ils ont affiné les différentes cuvées en introduisant des vinifications parcellaires et des expérimentations avec œuf béton et amphores, qui se sont avérées très concluantes et qui ont d’ailleurs donné naissance aux cuvées Silex et Poitevinnes (œuf béton + amphore). En 2018, ils font l’acquisition de 5 hectares en IGP Côtes de la Charité (Chardonnay et Pinot Noir) sur des terroirs viticoles qui présentent une forte tonalité bourguignonne avec des sols similaires qui contribuent à la richesse aromatique des vins. Enfin, nous sommes rassuré de savoir que Clément, le fils de Franck est présentement en formation BTS viticulture-oenologie afin de se joindre lui aussi à l’aventure familiale.

Champagne Roger Coulon

Les énergiques Isabelle et Éric Coulon ont grandi entourés des vignes sur la Montagne de Reims, tout comme leurs enfants Edgar et Louise qui travaillent à leurs côtés, fiers représentants de la 9e génération. Les 109 parcelles composant le domaine qui existe depuis 1806 s’étendent sur 11 hectares situés principalement sur le village de Vrigny classé Premier Cru, un secteur particulièrement réputé pour son Pinot Meunier.

Pour atteindre les plus hauts niveaux qualitatifs, une panoplie de moyens agronomiques ont été mis en œuvre afin d’obtenir une matière première exceptionnelle. Les sélections massales pour conserver la patrimoine génétique du vignoble, des vignes franches de pied pour livrer le couple cépage-terroir sans aucun filtre, l’agroforesterie pour contrer les effets du réchauffement climatique et augmenter la biodiversité, l’enherbement pour réguler la vigueur et l’apport hydrique de la vigne ainsi que la présence de moutons pour tempérer ce couvert végétal et amender naturellement les sols font partie des multiples concepts mis en place ici pour assurer la pérennité du vignoble et gravir les échelons les plus élevés de la hiérarchie champenoise.

Déjà répertorié vin naturel avec l’absence de chimie, de filtration, de collage et l’implication exclusive des levures naturelles, la famille Coulon a emmené en 2019 la totalité de son vignoble en agriculture biologique. Pour aller plus loin dans la démarche, une viticulture d’agroforesterie a également été mise en place. Les fermentations sont lentes et spontanées, l’effervescence est mesurée et les dosages sont uniquement extra-brut ou non-dosé. Certaines parcelles sont même en sélection massale et franches-de-pied.

La gamme Coulon, aux notes acidulées, grillées et doucement confites, est signée par une parfaite maîtrise technique et des rendements contrôlés – le tout arrondi par un élevage de vins clairs en fûts. Les vins de réserve sont aussi essentiels dans la générosité patinée de toutes les cuvées. Des champagnes de vigneron au style très singulier.

Domaine La Provenquière

Le Domaine La Provenquière, c’est l’histoire d’une passion pour le vin et pour le terroir du Languedoc, transmise de génération en génération depuis 1954. Depuis Achille Robert, fondateur du vignoble, jusqu’à ses petits-enfants aujourd’hui, tous ont à cœur de sublimer le potentiel du terroir du Languedoc au cœur du domaine.
Figures emblématiques du domaine, Claude et sa sœur Brigitte cogèrent l’exploitation familiale depuis 1994. Représentant la quatrième génération de la famille, Marie, Jean et Antoine s’engagent eux aussi au quotidien au cœur du domaine. La nouvelle génération se fait la garante de l’alliance subtile et prolifique entre tradition vigneronne et innovation viticole. Elle y pratique une viticulture raisonnée, labellisée HVE 3 et respectueuse du patrimoine viticole emblématique du Languedoc.

À ce savoir-faire traditionnel et ce respect du patrimoine familial viennent s’ajouter des touches d’innovation : du travail précis de la terre et de la vigne à la vinification et l’élevage des vins ; du respect des spécificités des parcelles en passant par la parfaite connaissance des cépages et la maîtrise des vendanges.

Domaine Simon Blanchard

Inspiration bourguignonne à Bordeaux – Nouveauté au portfolio

Oenologue-consultant dans l’équipe de Stéphane Derenoncourt, Simon Blanchard s’est lancé seul en appellation Montagne-Saint-Émilion, un des terroirs viticoles bordelais les plus injustement méconnu. Projet atypique pour la région, car basé sur des micro-cuvées parcellaires plutôt qu’une vision d’assemblage et une partie de vendanges entières qui varie suivant les millésimes et les crus. Étant un des domaines les plus en vue de la rive-droite en ce moment, nous nous estimons très privilégiés d’avoir obtenu une allocation, puisque Simon Blanchard ne prend plus de nouveaux clients; ses vins sont tous déjà pré-vendus.

Simon Blanchard est peut-être un néo-vigneron mais n’a rien d’un débutant; natif de la Loire, il a passé son diplôme d’œnologue à Bordeaux et a ensuite travaillé pendant plus de 18 ans dans l’équipe de Stéphane Derenoncourt, propriétaire du Domaine de l’A en Castillon-Côtes de Bordeaux et conseiller mondialement connu qui guide certainement le plus grand nombre de propriétés à Saint-Émilion. Tout en s’épanouissant au sein d’un collectif qui rayonne sur tout le vignoble bordelais, Simon avait envie d’un projet personnel : faire son propre vin, comme il l’entend, sans pour autant abandonner son activité de consultant. Il porte avec noblesse le métier de vigneron grâce à l’acquisition de 1,36 hectares sur un satellite de Saint-Emilion, un vignoble intime où il s’autorise toutes les libertés :

« Pour moi, Montagne, c’est le plus beau terroir argilo-calcaire de la rive-droite après ceux que l’on trouve autour du plateau de Saint-Émilion. Il donne naissance à des vins tout en taffetas et puissance maîtrisée. Ici c’est plus frais, plus tardif, on obtient donc plus de fraîcheur. »

Se mettant en quête d’un vignoble à taille humaine, qu’il soit capable de conduire seul (son fils Matteo qui étudie la viticulture-œnologie lui prête main forte), Simon a le coup de foudre pour un domaine divisé en trois entités parcellaires distinctes dans lesquelles il intègrera aussi une part de vendange entière lors des vinifications. Autre particularité, les cépages Merlot et Cabernet franc sont toujours co-fermentés lorsqu’il s’agit d’assemblage. De ces terroirs vont naturellement naître trois cuvées, Village, Au Champ de la Fenêtre et Guitard, autant de facettes de Montagne-Saint-Émilion qui se complètent à chaque millésime :

« J’ai tout de suite vu la possibilité de faire trois vins différents en allant au plus près de l’expression du lieu, un peu à la bourguignonne. Sur le Cabernet franc, la vendange entière apporte du floral, sur le Merlot elle apporte de la fraîcheur. Je m’adapte au profil du millésime pour décider de la quantité, mais j’aime le grain qu’elle apporte au vin. »

Après son premier millésime 2015, il ne tarde pas à engager une certification en agriculture biologique dès 2016 pour l’obtenir en 2019, tout en adoptant progressivement des pratiques biodynamiques. Simon recherche des vinifications simples, peu interventionnistes, afin de préserver la minéralité issue des terroirs les plus calcaires, ainsi que des élevages originaux.

Des vins entre velouté, jus pur et finesse, sans concession sur la qualité et le plaisir, sans jamais tomber dans la démonstration ni la puissance. Des cuvées identitaires qui révèlent l’appellation Montagne-Saint-Emilion sous un autre jour ont participé à la reconnaissance amplement méritée du domaine. Simon Blanchard s’est forgé un nom en très peu de temps et on voit en lui un précurseur qui bouscule les codes du vignoble bordelais.

Domaine Boissonnet

Frédéric Boissonnet a repris et relancé l’activité de son père et de son grand-père à qui il doit sa passion pour le vin. Le domaine accorde une grande importance à son histoire et perpétue une tradition familiale qui prend tout son sens à travers l’histoire de ses caves datant du XVIIème siècle et dans lesquelles Frédéric élève ses vins en fûts depuis 1990. Le Domaine Boissonnet met donc l’accent sur la bonne conduite de la culture de la vigne, dans le respect de son terroir et de son raisin. Comme Frédéric aime à le dire « Sans de bons raisins, on ne peut pas faire de bons vins ». Sur les côteaux escarpés qui surplombent la vallée du Rhône, il cultive près de 11 hectares de vignes (10 ha en AOC Saint Joseph et 1 ha en AOC Condrieu) dans le plus grand respect du terroir et de la maîtrise des rendements.

Château Grand Village

Bien au-delà d’un simple Bordeaux

Une remarque assez révélatrice se retrouve dans toutes les revues de presses concernant les vins de Château Grand Village, les spécialistes du vin s’entendent à l’unanimité : ce sont des Bordeaux nettement au-dessus de leur niveau d’appellation. Le Bordeaux Supérieur nous a rappelé le style Clos Rougeard au nez et le Bordeaux blanc nous renvoie à un très grand Pessac-Léognan qui saura vieillir avec panache. On ne pense pas souvent à garnir notre cellier de Bordeaux Supérieur ou Bordeaux générique pour la garde, et bien voici l’exception qui confirme la règle.

La famille Guinaudeau a leur jardin sur Pomerol avec le cultissime Château Lafleur – très proche voisin de nul autre que Pétrus – alors que le Château Grand Village se situe sur la commune de Mouillac, juste à côté de Fronsac que l’on surnomme l’appellation la plus médocaine de la rive-droite. Les vignes sont plantées sur des calcaires similaires à ceux du plateau de Saint-Émilion. Cette équation complexe de facteurs inimitables donne naissance à « l’un des meilleurs Bordeaux » selon le Guide Bettane et Desseauve 2020 – ce qui n’est pas peu dire considérant que Bordeaux recense plus de 10 000 châteaux.

Les Guinaudeau ont principalement acquis leur notoriété suite à l’acquisition du Château Lafleur à Pomerol en 1985, bien qu’ils exerçaient déjà leur talent depuis 1980 au Château Grand Village, leur propriété familiale datant du 17e siècle et disposant de 20 hectares de vigne. Un changement de cap orchestré au début des années 2000, accompagné de l’arrivée de la nouvelle génération, Julie et Baptiste, a doucement propulsé ce simple Bordeaux vers des horizons qualitatifs rarement rencontrés à ce niveau. Un immense travail d’identification des meilleures parcelles et de sélection du matériel végétal s’est conclu en 2017 et permet aujourd’hui d’allier une géologie exceptionnelle à des sélections massales qui font l’envie de tous les vignerons. Une pépinière, à même la propriété, a permis de reproduire les meilleurs Bouchet (Cabernet Franc) issus directement du Château Lafleur.

Les vignes bénéficient des mêmes soins que les vins produits en appellation Pomerol et le travail y est effectué par les mêmes équipes. Tout est manuel, de la taille en passant par l’ébourgeonnage, jusqu’à la récolte et au tri. Les extractions sont modérées et les élevages sont immensément soignés. Les barriques neuves utilisées, environ 30% par année, seront ensuite envoyées au Château Lafleur pour poursuivre leur existence.

Des Bordeaux spectaculaires et vraiment accessibles qui sont des modèles d’équilibre et de précision. La trame épurée et le grand souci du détail, si notables chez Lafleur, se transcrivent sans équivoque dans les vins du Château Grand Village. Une propriété où les « petits » millésimes n’existent pas et qui a très peu d’équivalents sur le marché.

Domaine de Vernus

Avec Guillaume Rouget comme conseiller à la vigne et vinificateur, le propriétaire Frédéric Jametton pouvait difficilement faire un meilleur choix. Avec son expérience sur les plus grands terroirs de la Côte-de-Nuits, Guillaume y trouve de nouveaux moyens de s’exprimer et partager son précieux savoir, tout en continuant d’épauler son père à Flagey-Echezeaux. Pour ceux qui ne connaîtrait pas le père de Guillaume, il s’agit de nul autre qu’Emmanuel Rouget, neveu de l’illustre Henri Jayer, avec qui il a appris le métier de vigneron. Emmanuel Rouget est sans doute le seul vrai héritier du style Jayer; des vins fins, élégants, racés, au fruité intense et dont la complexité s’accroît avec le temps. Bien que Guillaume Rouget marche dans les traces de son père, il appose ici sa propre signature au Domaine de Vernus.

Créée en 2019, la propriété est implantée sur les hauteurs de la commune de Régnié-Durette au cœur du Beaujolais. Le Domaine de Vernus bénéficie d’une situation privilégiée face au Mont Brouilly, avec une vue panoramique sur les Monts du Beaujolais, la plaine de la Saône et la chaîne des Alpes. Le propriétaire Frédéric Jametton, associé à Guillaume Rouget, a pris le pari de constituer un domaine viticole uniquement en crus Beaujolais. D’une superficie de 7 hectares lors de sa genèse, le vignoble planté majoritairement en vieilles vignes de Gamay s’étend aujourd’hui à 12 hectares.

Le domaine réunit les crus les plus réputés du Beaujolais pour son premier millésime 2019: Régnié, forgé par la puissance du granite, Fleurie qu’on surnomme la ‘reine des crus’ et Chiroubles, le cru le plus élevé du Beaujolais. C’est ainsi que naissent plusieurs cuvées d’exception, en valorisant le parcellaire pour mettre en exergue la spécificité et le caractère des différents terroirs.

La vendange est manuelle avec un tri minutieux, l’égrappage est total ou partiel, dosé en fonction du terroir et millésime. Clin d’œil au style bourguignon, le Gamay infuse en douceur grâce à de légers pigeages. Les vinifications réalisées en cuves inox sont naturelles n’employant que les levures indigènes et les jus poursuivent tranquillement leur transformation en cuves ou en fûts de chêne pendant une période d’au moins 10 mois.

Preuve de leur engagement dans des pratiques respectueuses de l’environnement, de la biodiversité et des sols, le domaine a obtenu la certification ‘Haute Valeur Environnementale 3 – soit le plus haut niveau existant – sur l’ensemble du vignoble.

On ressent définitivement l’ombre d’un grand vinificateur derrière cette production confidentielle limitée à environ 6000 bouteilles pour chaque cuvée. Les résultats sont saisissants pour un premier millésime. Par ailleurs, nous sommes impatients de découvrir dans le futur les Beaujolais Villages, Morgon et Moulin-à-vent qui viendront compléter la gamme sur le millésime 2020, pour le plus grand bonheur de nos papilles. Premier millésime et premier arrivage, il y a fort à parier que les cuvées du Domaine de Vernus seront distribuées en allocation dans les prochaines années vu l’engouement palpable que les vins du duo Rouget-Jametton provoque déjà.

Château du Seuil

Situé sur le territoire de Puyricard, le Château du Seuil élabore des vins au caractère unique faisant partie des meilleurs vins de Provence. Le domaine se consacre aujourd’hui au développement de son vignoble de 62 hectares entièrement inscrit dans l’aire d’appellation des Coteaux d’Aix-en-Provence.

S’étageant du plateau de Puyricard jusqu’au sommet du massif de la Trévaresse, entre 350 et 450 mètres d’altitude, le vignoble du Château du Seuil bénéficie d’un grand ensoleillement, d’un terroir diversifié particulièrement favorable à la culture de la vigne : des sols argilo-calcaires caillouteux secs et filtrants aux expositions diversifiées ; un climat chaud et sec en été mais frais la nuit ; le souffle permanent et bénéfique du mistral qui réduit les risques de maladie ; une altitude qui limite le degré alcoolique des vins et donne à ceux-ci une grande fraîcheur, notamment pour les blancs et les rosés.